Tu es grosse

T’es grosse, perds du poids

Savais-tu qu’une seule phrase, un seul mot, peut briser l’estime de quelqu’un? Sur le moment, la personne peut le prendre avec humour, ou le prendre comme si sa lui coulait sur le dos. Mais ça reste dans la tête, cette phrase, cette façon de penser. Sa peut avoir des répercussions, à long terme… sans le savoir. Sa s’infiltre dans le subconscient cette bébitte là.

Une estime de soi, sa se bâti sur une longue période. Sa peut prendre des mois pour certain, des années pour d’autres. C’est long, s’aimer! C’est long, savoir ce qu’on vaut dans la vie en tant qu’individus. Il y en a qui ne trouveront jamais ce chemin de toute leur vie.

Une seule phrase, un seul mot, peut tout détruire.

Les mots, sa peut faire mal. Très mal. Et si cette phrase tu l’entends pendant des années? Tu finis par y penser pour de vrai. Tu ne vaut rien de mieux que d’être une personne en surpoids qui doit perdre du poids. Parce que perdre du poids veut nécessairement dire que tu sera aimé, c’est sa? Les autres pourront t’aimer à ta juste valeur, parce que tu seras mince ?

Et si je te disais que non. Non, tu n’as pas besoin d’être mince pour te faire aimer. Non, tu n’as pas besoin d’être mince pour t’aimer TOI pour de vrai. Non. S’aimer soi-même, sa commence maintenant. Remplis-toi d’amour pour toi et l’extra d’amour, va juste se propager autour de toi. Pleins de love, partout partout.

Savais-tu que ceux qui passent des commentaires constamment sur le poids des autres, sont ceux qui ont le moins d’estime d’eux-même? Alors pourquoi pas ‘guarrocher’ leur mal-être à l’autre, question de faire sentir l’autre aussi mal et que tout le monde angoisse sur le plis de mou que tu as. Belle façon de vivre sa.

L’image corporelle, ce n’est pas un sujet de conversation. Jamais. Autant sur celle des autres que LA TIENNE.

L’amour de soi, c’est ta priorité. Fais le ménage dans ta vie.

Je m’aime, as-tu un problème avec ça ?

Une réflexion sur “Tu es grosse

  1. J’adore ton blog. Je vais finir par m’accepter tel que je suis un jour, grâce a toi et aux autre femmes qui trace le chemin.Arrêter de se comparer c’est difficile ,les compulsions ,se sentir coupable, ne pas aimer son reflets dans le mirroir. La maudite ménopause en plus ou tu reviens casiment dans le mood d’ado. Quand tu travaille dans le domaine de l’entraînement en plus, les gens sont impitoyable, mechant et savent aussi toujours te renfoncer un peux plus loin dans le délire de la pseudo perfection du corps, en ne s’en rendant pas toujours compte. Je te remercie encore.

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